L’Allemagne a assoupli les restrictions de pour les voyageurs entièrement vaccinés. Cela concerne les passagers arrivant dans le pays depuis des zones désignées « à risque » et « à forte incidence ».
Depuis mars, tous les voyageurs entrant en Allemagne en provenance de pays à haut niveau d’infection devaient s’auto-isoler pendant 10 jours. De plus, ils devaient fournir la preuve d’un test COVID-19 négatif. Ces règles n’existent plus pour les voyageurs qui peuvent prouver qu’ils sont complètement vaccinés. C’est également le cas pour ceux qui peuvent montrer qu’ils ont récemment récupéré du COVID-19.
Il existe actuellement 31 pays et territoires désignés comme zones à « forte incidence ». La liste est beaucoup plus longue pour les « zones à risque ». Des règles strictes de test prévol et de quarantaine resteront en place pour les voyageurs arrivant en Allemagne en provenance de « zones de variantes préoccupantes ».
L’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud, entres autres, sont actuellement désignés comme « zones de variantes préoccupantes ». Les voyageurs doivent être mis en quarantaine pendant 14 jours, qu’ils aient été vaccinés ou non.
En effet, les variantes du COVID-19 en circulation dans ces pays pourraient échapper à la génération actuelle de vaccins approuvés.
L’Institut Robert Koch, en Allemagne, n’a pas pu immédiatement clarifier quels vaccins seraient approuvés pour une entrée sans quarantaine. La Commission européenne a recommandé que seuls les vaccins approuvés par le régulateur des soins de santé soient reconnus.
L’Agence européenne des médicaments a jusqu’à présent approuvé quatre vaccins. Comirnaty (communément appelé vaccin Pfizer / BioNTech), Moderna, Janssen (également connu sous le nom de vaccin Johnson & Johnson) et Vaxzevria (également appelé vaccin AstraZeneca).
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé ces quatre vaccins, ainsi que le vaccin chinois Sinopharm.
L’Allemagne a assoupli les restrictions et cette décision ouvre la porte a la totalité des pays européens pour facilite les déplacements cet été. Les compagnies aériennes lowcost intra-européenne vont sans doute profiter de cette décision.