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- 12 octobre 2012 à 20 h 14 min #87896
Bonsoir ,
La dame de la formation dans laquelle je vais rentrer prochainement nous a dit que si on avais porté plainte on risquait de sonner rouge pour la demande de badge aeroportuaire……J’ai été agressée et ai posé 2 plaintes , a ce qui parait je dois ecrire a un organisme en urgence pour faire effacer cela de mon dossier sinon je me verrais refuser le badge ! avez vous l’adresse du stic svp urgent je dois le faire avant décembre
- 13 octobre 2012 à 6 h 51 min #138959
En tant que victime il n’y a aucun problème car rien n’est indiqué sur le casier…
- 13 octobre 2012 à 13 h 55 min #138960
Coucou , je vous assure quelle a dit que meme lorsqu’on a fait un depot de plainte il y a une trace et il faut ecrire au stic
- 13 octobre 2012 à 16 h 52 min #138961
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- 13 octobre 2012 à 16 h 53 min #138962
Ce fichier répertorie des informations provenant des comptes rendus d’enquêtes effectuées après l’ouverture d’une procédure pénale. Il recense à la fois les personnes mises en cause dans ces procédures et les victimes des infractions concernées. Il facilite la constatation des infractions à la loi pénale, le rassemblement des preuves de ces infractions et la recherche de leurs auteurs. Il permet également d’élaborer des statistiques.
- 13 octobre 2012 à 16 h 57 min #138963
22 juin 2009
STIC : Système de traitement des infractions constatées
Ce fichier répertorie des informations provenant des comptes rendus d’enquêtes effectuées après l’ouverture d’une procédure pénale. Il recense à la fois les personnes mises en cause dans ces procédures et les victimes des infractions concernées. Il facilite la constatation des infractions à la loi pénale, le rassemblement des preuves de ces infractions et la recherche de leurs auteurs. Il permet également d’élaborer des statistiques.Chiffres clés
En décembre 2008, le STIC recensait :36 500 000 de procédures
37 911 000 infractions
5 552 313 individus mis en cause
28 329 276 victimes
10 millions d’objets
À quoi sert ce fichier ?
Ce fichier répertorie des informations provenant des comptes rendus d’enquêtes effectuées après l’ouverture d’une procédure pénale. Il recense à la fois les personnes mises en cause dans ces procédures et les victimes des infractions concernées. Il facilite la constatation des infractions à la loi pénale, le rassemblement des preuves de ces infractions et la recherche de leurs auteurs. Il permet également d’élaborer des statistiques.Depuis la loi du 15 novembre 2001 pour la sécurité quotidienne, le STIC peut être consulté dans le cadre des enquêtes administratives devant précéder les décisions d’habilitation des personnes en ce qui concerne l’exercice de missions de sécurité et de défense, les autorisations d’accès à des zones protégées en raison de l’activité qui s’y exerce et les autorisations concernant les matériels ou produits présentant un caractère dangereux.
Cette possibilité a été étendue par la loi du 18 mars 2003 (instruction des demandes d’acquisition de nationalité française, délivrance et renouvellement des titres relatifs à l’entrée et au séjour des étrangers, nomination et promotion dans les ordres nationaux).
Qui est responsable de ce fichier ?
La direction générale de la police nationale, sous le contrôle du procureur de la République territorialement compétent.Que contient ce fichier ?
Concernant les personnes mises en cause : identité (nom, nom marital, nom d’emprunt officiel, prénoms, sexe), surnom, alias, date et lieu de naissance, situation familiale, filiation, nationalité, adresse(s), profession(s), état de la personne, signalement, photographie.
Concernant les victimes : identité (nom, nom marital, nom d’emprunt officiel, prénoms, sexe), date et lieu de naissance, situation familiale, nationalité, adresse, profession, état de la personne, signalement (personnes disparues et corps non identifiés), photographie (personnes disparues et corps non identifiés).
Informations concernant les faits objet de l’enquête, les lieux, dates de l’infraction et modes opératoires, ainsi que les informations relatives aux objets, y compris celles qui sont indirectement nominatives.
Quels sont les critères d’inscription dans ce fichier ?
Pour être fiché au STIC, il faut que soit ouverte une procédure pénale concernant :une personne à l’encontre de laquelle sont réunis, pendant la phase d’enquête, des indices ou des éléments graves et concordants attestant sa participation à la commission d’un crime, d’un délit ou d’une des contraventions de 5e classe visées au décret du 5 juillet 2001
une victime de l’une de ces infractions.
Qui peut procéder à une inscription ?
Les personnels habilités des services de la police nationale et de la gendarmerie nationale qui participent à la mission de police judiciaire.Combien de temps sont conservées les informations ?
Les informations concernant le mis en cause majeur sont conservées vingt ans. Par dérogation, elles peuvent n’être conservées que cinq ans ou, au contraire, être conservées jusqu’à quarante ans selon la nature de l’infraction (cf. liste d’infractions figurant en annexe I du décret du 5 juillet 2001).
Les informations concernant le mis en cause mineur sont conservées cinq ans. Par dérogation, elles peuvent être conservées dix, voire vingt ans selon la gravité de l’infraction (cf. listes d’infractions figurant en annexes II et III du décret du 5 juillet 2001).
Si l’intéressé est à nouveau mis en cause avant l’expiration de ces durées de conservation, le délai de conservation restant le plus long s’applique aux données concernant l’ensemble des infractions pour lesquelles la personne a été mise en cause.
La durée de conservation des informations concernant les victimes est au maximum de quinze ans. Cette durée est prolongée jusqu’à la découverte des objets, lorsque l’infraction porte sur des oeuvres d’art, des bijoux ou des armes.
Qui peut consulter ce fichier ?
Les personnels individuellement désignés et spécialement habilités des services de la police nationale et de la gendarmerie nationale ainsi que les agents des douanes habilités à effectuer des missions de police judiciaire.
Les magistrats du parquet ainsi que les magistrats instructeurs pour les recherches relatives aux infractions dont ils sont saisis
Sous certaines conditions, les personnels investis de missions de police administrative individuellement désignés et spécialement habilités par le préfet.
En décembre 2008, près de 100 000 personnes étaient habilitées à accéder au STIC dans le cadre d’une mission de police judiciaire, de police administrative ou de fonctions de gestion du fichier.Comment obtenir communication et/ou rectification des données ?
La règle : pour les fichiers de police, c’est la CNIL qui effectue elle-même les vérifications souhaitées. Pour cela, il faut adresser au Président de la CNIL un courrier et y joindre une copie d’un titre d’identité.Adresse de la CNIL :
Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés
8 rue Vivienne CS 3022375083 PARIS CEDEX 02
Toute personne identifiée dans le STIC en qualité de victime peut s’opposer à la conservation, dans ce fichier, d’informations nominatives la concernant dès lors que l’auteur des faits concernés a été condamné de façon définitive. Pour obtenir la suppression de la fiche correspondante, il convient d’adresser sa demande, accompagnée d’une attestation du tribunal ayant condamné l’auteur des faits, au : Ministère de l’intérieur – Direction générale de la police nationale, 11 rue des Saussaies 75008 PARIS
Toute personne identifiée dans le STIC en qualité de personne mise en cause dans une enquête judiciaire ouverte à la suite de l’une des infractions donnant lieu à inscription au STIC (crime, délit et certaines contraventions de Ve classe) peut demander la rectification ou la suppression de la fiche la concernant en s’adressant au procureur de la République territorialement compétent ou au procureur général près la cour d’appel en cas de décision prononcée par cette juridiction, dans les cas suivants :
1/Les faits ayant donné lieu à l’enregistrement de la personne dans le STIC ont fait l’objet d’une requalification judiciaire (Ex : une procédure pénale à été ouverte pour vol aggravé ; le juge d’instruction ou la juridiction de jugement considère qu’il s’agit d’un vol simple).
2/ La personne concernée a été acquittée ou relaxée
3/ La personne concernée a bénéficié d’une décision de non-lieu ou d’un classement sans suite pour insuffisance de charges
4/ L’intéressé peut demander que la fiche le concernant soit complétée par une référence à cette décision ou soit même effacée. La mise à jour de la fiche est de droit ; en revanche, son effacement relève du pouvoir d’appréciation du procureur de la République qui peut s’y opposer .
- 13 octobre 2012 à 16 h 58 min #138964
J’ai mis l’adresse car c’est très important pour les gens qui doivent faire supprimer qq. chose avant le badge
- 13 octobre 2012 à 18 h 35 min #138965
J’ai déjà porté plainte plusieurs fois, et je n’ai jamais eu de probleme pour obtenir mon badge à CDG ou ORY, pareil lors du renouvellement tous les 3ans.
- 14 octobre 2012 à 19 h 44 min #138966
Merci beaucoup pour ta réponse car ça m’inquiétait beaucoup depuis que la dame nous avait dit ça à l’entretien de l’école.
Je stressais énormément parce que je me disais qu’avec les deux plaintes que j’avais faite je risque d’avoir des soucis pour obtenir mon badge aéroportuaire alors que pourtant dans l’histoire je suis victime mais l’histoire est allée assez loin car je me suis retrouvé face à l’agresseur au tribunal donc je pense que ça doit être écrit dans mon dossier
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